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"Serious sport has nothing to do with fair play…it is war minus the shooting."

George Orwell

deuxieme commandment

Tu ne feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. Exode : 4-5.

Tout d’abord, rappelons-nous la raison pour laquelle Dieu ne veut pas que nous taillons une image à sa ressemblance. C’est simplement parce que nous représentons déjà cette image ! Car Dieu dit dans Genèse 1 :26 : « Faisons l’homme à notre image….. » Adam devait être le représentant de Dieu dans le Jardin d’Eden. Il devait le cultiver et le garder. (Genèse2 :15).

Nous sommes aussi les représentants de Dieu dans le monde du sport dans lequel nous devons rester à son image, en travaillant dedans et en le cultivant de la même manière qu’Adam devait le faire dans le Jardin d’Eden.

Pour la plupart d’entre nous, nous ne pouvons pas rencontrer physiquement ou visiblement Dieu. Nous ne devons pas non plus adorer une représentation en pierre ou en bois au lieu du Dieu vivant. Mais ne courrons-nous pas le risque de faire de l’argent, du sexe, de notre statut, de nos réalisations, de nos ambitions - et même du sport - notre dieu ?

Ce qui ressort de ce commandement est que tous les dons de Dieu y compris le sport sont bons et on doit en jouir. Mais il faut éviter de les mettre à la place de Dieu dans nos vies.

Dans certaines parties du monde, les chrétiens peuvent être confrontés aux problèmes d’images taillées ceci nous rappelle le cas de Oscar Ewolo, à qui il a été dit, lors de son premier match pour le Congo, que tous les joueurs doivent toucher à un fétiche avant de commencer le jeux afin qu’il leur apporte la chance. En tant que Chrétien, Oscar ne s’était pas soumis à cette décision. Il s’est expliqué en disant qu’il a cru en Jésus et ne pouvait pas participer à une cérémonie, où on rend hommage à un autre dieu. Et si ceci est nécessaire, il ne jouerait donc pas.

Très peu d’entre nous choisirait de se soumettre à une telle pratique proposée à Oscar. Mais, la tentation qui nous conduit à céder la place de Dieu à l’argent, au pouvoir ou au sexe parait plus insidieuse.

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