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"Lord, I don't ask that I should win, but please, please don't let me finish behind Akabusi."

Innocent Egbunike's prayer at the 1988 Olympics

sixieme commandment

Tu ne tueras point Exode :20 : 13

Nous pourrions nous sentir irréprochable par rapport à ce commandement car après tout, nous n’avons jamais tué quelqu’un. Mais n’oubliez pas ces paroles de Jésus : « vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens : Tu ne tueras point ; celui qui tuera mérite d’être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d’être puni par les juges ». Matthieu 5 : 21-22.

Il se peut que nous n’ayons pas tué quelqu’un mais nous avons certainement manifesté notre colère contre plusieurs personnes. Nous nous sommes irrités contre l’arbitre et les commissaires, contre le camp adverse et même contre nos coéquipiers et notre entraineur. Nous sommes donc coupables face à ce commandement. Et si la haine, l’envie et la vengeance s’y ajoutent, nous sommes plus coupables. Le joueur de Tennis, Nancy Richey est devenu chrétien plus tard dans sa carrière. Elle a avoué qu’il lui paraît plus difficile de gérer ses émotions concurrentielles compétitives en harmonie avec sa nouvelle foi : Elle dit « Lorsque j’ai mis pied sur le court de tennis, j’ai senti que j’étais dans un milieu isolé où il n’y avait pas la présence du Seigneur. Je savais bien que haïr son adversaire n’est pas digne d’un chrétien ». Le problème ici n’est peut être pas un conflit entre un chrétien et un non croyant. Mais ce comportement de Nancy Richey est dû à son approche originelle sur le tennis, notamment sa motivation pour remporter la victoire était badée sur la haine face à l’adversaire.

Toutefois, Richey n’est pas la seule à mener une lutte acharnée contre ce problème. Plusieurs joueurs s’évertuent aussi à établir l’équilibre, à modérer l’enthousiasme compétitif avec la petite part de la grâce spirituelle qui leur est accordée, alors que dans le même temps, les propriétaires d’équipes reporters des activités sportives s’inquiètent que ces joueurs qui veulent être fidèles à leur religion en refroidissant leur « instinct meurtrier » peuvent mettre l’équipe en péril. Bernhard Langer, qui serait considéré comme l’un des concurrents les plus durs de caractère au golf mondial, à plutôt prononcé une parole qui est utile pour la présente situation. Il dit : « Je crois fermement que je peux remporter les tournois sans souhaiter la malchance à mes camarades concurrents ou essayer d’user n’importe quelle astuce en leur défaveur ». Le fait qu’il ait appelé son adversaire sa « camarade » et non « adversaire » lui a valu une gratification. Mais pourquoi les gens s’adressent seulement aux sportifs sur ce point ?

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